Roberto Bordin: Notre zèle nous a aidé à obtenir des résultats
La première partie de l’interview de l'entraîneur-chef du FC Sheriff Roberto Bordin à la chaîne de télé TSV:
Êtes-vous satisfait de la saison passé?
- Que puis-je dire? La saison a été difficile. Il y avait des moments quand notre club était à la deuxième ou à la troisième place du classement. Puis, on a réussi à atteindre la première place. Il y avait un moment quand on a perdu des points et notre première place. C’est le match d’or qui a démontré le champion du pays. Je peux dire que je suis content du résultat.
Y a-t-il eu un désir de quitter le club?
- Pas du tout. Je n’ai jamais eu de pareilles situations dans ma carrière de joueur ou d’entraîneur. J’ai toujours essayé de transmettre mes émotions personnelles et mon experience à l’équipe. J’ai toujours essayé de faire comprendre mes joueurs que nous devons nous battre jusqu'au bout. Il était difficile psychologiquement de perdre les points. Finallement, notre zèle nous a aidé à obtenir des résultats.
Comment l’équipe a réagi-t-elle à ces péripétis?
- Il a été très difficile, surtout après deux défaites à Tiraspol et après un match nul contre le FC Dinamo-Auto. Il a été difficile de maintenir la concentration des joueurs. Les joueurs étaient un peu découragés. Notre staff technique a essayé d'encourager les joueurs, de les transmettre notre courage et notre volonté de nous battre jusqu’au bout. Il faut ajouter que notre état physique a été à un bon niveau et le match d’or l’a prouvé. Les joueurs adverses ont eu des crampes vers la fin du match. Nos joueurs se sentaient bien.
Quelle a été la raison de votre chute au début du printemps?
- Ma faute personnelle réside en fait qu’on a commencé à penser que nous sommes le champion quand on a repris la première place du classement. On s’est concentré sur les derniers matchs de la saison et l'équipe a perdu la connexion avec les prochains matchs du championnat. C’est qu’on a perdu les points contre les équipes qui se sont battues jusqu'à la dernière minute. Et nous étions quelque part loin d’ici, à la fin du mois de mai ou en vacances peut-être. Nous devons accuser notre subconscience. Ce n’est pas l'état physique de l'équipe qui a joué un rôle majeur, ce sont nos pensées qui ont influencé notre jeu.
Est-ce que vous vous rendiez compte à ce moment-là que les fans se sont habitués à notre jeu offensif qui avait donné des résultats? L’équipe a changé son style de jeu après la pause hivernale. Et après, une défaite contre Dacia, puis, face à Academia… Qu’avez-vous ressenti à ce moment?
- Plus tard, il est devenu clair que nos pensées et notre subconscient est la principale raison de notre défaite. Le plan physique, tactique de l'équipe était à un bon niveau. C’est ma faute tout d'abord. Je n’ai pas pu expliquer à mon équipe nos actions et nos objectifs. Cela arrive parfois au monde du football. Il y a de bons résultats, il y a des mauvais. Notre principale victoire est que nous avons réussi à se maîtriser et à atteindre nos objectifs.
Quel est le meilleur match du FC Sheriff sous votre dirigeance?
- Il y avait beaucoup de bons matchs. Mais les dernières impressions sont les plus importantes. C’est le match d’or. Nous avons joué face à une très forte équipe. Le match a été très intéressant, dynamique et en même temps difficile pour les deux équipes. Nous avons prouvé que notre état physique a été meilleur. Tout le monde a remarqué des crampes des joueurs de Dacia. Nos joueurs ont joué jusqu’à la fin du match sans quelques problèmes. On a eu beaucoup de bons matchs mais le dernier match est le plus important, c’est notre match d’or.
Le FC Sheriff a perdu trios matchs: contre Milsami, Dacia et Academia. Et le match nul contre le FC Dinamo-Auto ne peux pas être nommé une réussite des jaunes et noirs. Quel match peut être nommé un fiasco du FC Sheriff?
- Les défaites sur notre terrain sont les plus regrettables et pour l’équipe et pour les fans. On a eu de la chance de remporter le titre de champion même sans match d’or si nous auriont joué ces machs au moin sur le score nul. Et on n’a pas pu jouer au football dans le match contre Dinamo-Auto. Il n’y a eu que des interruptions du jeu. On n’a pas réussi à jouer notre football.
Cela fait huit mois que vous êtes avec le FC Sheriff. Est-ce que vous pouvez dire que l’équipe joue au football que vous voulez voir?
- Il y avait beaucoup de matchs quand mon équipe a realisé toutes mes directives et a joué au foot que je veux voir. Il y avait d'autres matchs, par exemple, contre Dinamo-Auto. Ce jour-là, il n'y a pas eu de football de Roberto Bordin. Il n'y a pas eu de tactique. Nous n’avons eu qu’une option de passer le ballon dans la surface de réparation et d’essayer de l’envoyer dans les filets de l’adversaire. En générale, je suis content de mon équipe. Et je pense que l’équipe est aussi satisfaite. On a pu prouver que nous pouvons jouer au football et que nous sommes une équipe de haut niveau.
L’équipe a marqué 72 buts en 26 matchs sous votre direction et étant donné qu’il n’y a pas beaucoup d’attaquants. Êtes-vous satisfait de l'aspect offensif de l’équipe?
- Je suis content. Je suis content que l’équipe n’a pas encaissé beaucoup de buts. Je suis content que nos buts ont été marqués non seulement par les attaquants. Par exemple, Ricardinhio qui a joué en attaque et en défense. On a signé avec Damascan à la fin de la saison qui a marqué cinq buts en six matchs. Ce fait me rejouit aussi.
L’équipe a marqué beaucoup de buts sur les coups de pierd arrêtés. Est-ce que vous accordez beaucoup d'attention à cet aspect?
- Tout à fait. J’aime quand mon équipe peut marquer sur les coups de pied arrêtés. Le football moderne est inséparable de cet aspect et j'ai consacré beaucoup de temps à cet aspect. C’est grâce à nos entraînements que les défenseurs centraux comme Savic, Potirniche ont réussi à marquer sur les coups de pied arrêtés.
à suivre
Service de presse du FC Sheriff
Êtes-vous satisfait de la saison passé?
- Que puis-je dire? La saison a été difficile. Il y avait des moments quand notre club était à la deuxième ou à la troisième place du classement. Puis, on a réussi à atteindre la première place. Il y avait un moment quand on a perdu des points et notre première place. C’est le match d’or qui a démontré le champion du pays. Je peux dire que je suis content du résultat.
Y a-t-il eu un désir de quitter le club?
- Pas du tout. Je n’ai jamais eu de pareilles situations dans ma carrière de joueur ou d’entraîneur. J’ai toujours essayé de transmettre mes émotions personnelles et mon experience à l’équipe. J’ai toujours essayé de faire comprendre mes joueurs que nous devons nous battre jusqu'au bout. Il était difficile psychologiquement de perdre les points. Finallement, notre zèle nous a aidé à obtenir des résultats.
Comment l’équipe a réagi-t-elle à ces péripétis?
- Il a été très difficile, surtout après deux défaites à Tiraspol et après un match nul contre le FC Dinamo-Auto. Il a été difficile de maintenir la concentration des joueurs. Les joueurs étaient un peu découragés. Notre staff technique a essayé d'encourager les joueurs, de les transmettre notre courage et notre volonté de nous battre jusqu’au bout. Il faut ajouter que notre état physique a été à un bon niveau et le match d’or l’a prouvé. Les joueurs adverses ont eu des crampes vers la fin du match. Nos joueurs se sentaient bien.
Quelle a été la raison de votre chute au début du printemps?
- Ma faute personnelle réside en fait qu’on a commencé à penser que nous sommes le champion quand on a repris la première place du classement. On s’est concentré sur les derniers matchs de la saison et l'équipe a perdu la connexion avec les prochains matchs du championnat. C’est qu’on a perdu les points contre les équipes qui se sont battues jusqu'à la dernière minute. Et nous étions quelque part loin d’ici, à la fin du mois de mai ou en vacances peut-être. Nous devons accuser notre subconscience. Ce n’est pas l'état physique de l'équipe qui a joué un rôle majeur, ce sont nos pensées qui ont influencé notre jeu.
Est-ce que vous vous rendiez compte à ce moment-là que les fans se sont habitués à notre jeu offensif qui avait donné des résultats? L’équipe a changé son style de jeu après la pause hivernale. Et après, une défaite contre Dacia, puis, face à Academia… Qu’avez-vous ressenti à ce moment?
- Plus tard, il est devenu clair que nos pensées et notre subconscient est la principale raison de notre défaite. Le plan physique, tactique de l'équipe était à un bon niveau. C’est ma faute tout d'abord. Je n’ai pas pu expliquer à mon équipe nos actions et nos objectifs. Cela arrive parfois au monde du football. Il y a de bons résultats, il y a des mauvais. Notre principale victoire est que nous avons réussi à se maîtriser et à atteindre nos objectifs.
Quel est le meilleur match du FC Sheriff sous votre dirigeance?
- Il y avait beaucoup de bons matchs. Mais les dernières impressions sont les plus importantes. C’est le match d’or. Nous avons joué face à une très forte équipe. Le match a été très intéressant, dynamique et en même temps difficile pour les deux équipes. Nous avons prouvé que notre état physique a été meilleur. Tout le monde a remarqué des crampes des joueurs de Dacia. Nos joueurs ont joué jusqu’à la fin du match sans quelques problèmes. On a eu beaucoup de bons matchs mais le dernier match est le plus important, c’est notre match d’or.
Le FC Sheriff a perdu trios matchs: contre Milsami, Dacia et Academia. Et le match nul contre le FC Dinamo-Auto ne peux pas être nommé une réussite des jaunes et noirs. Quel match peut être nommé un fiasco du FC Sheriff?
- Les défaites sur notre terrain sont les plus regrettables et pour l’équipe et pour les fans. On a eu de la chance de remporter le titre de champion même sans match d’or si nous auriont joué ces machs au moin sur le score nul. Et on n’a pas pu jouer au football dans le match contre Dinamo-Auto. Il n’y a eu que des interruptions du jeu. On n’a pas réussi à jouer notre football.
Cela fait huit mois que vous êtes avec le FC Sheriff. Est-ce que vous pouvez dire que l’équipe joue au football que vous voulez voir?
- Il y avait beaucoup de matchs quand mon équipe a realisé toutes mes directives et a joué au foot que je veux voir. Il y avait d'autres matchs, par exemple, contre Dinamo-Auto. Ce jour-là, il n'y a pas eu de football de Roberto Bordin. Il n'y a pas eu de tactique. Nous n’avons eu qu’une option de passer le ballon dans la surface de réparation et d’essayer de l’envoyer dans les filets de l’adversaire. En générale, je suis content de mon équipe. Et je pense que l’équipe est aussi satisfaite. On a pu prouver que nous pouvons jouer au football et que nous sommes une équipe de haut niveau.
L’équipe a marqué 72 buts en 26 matchs sous votre direction et étant donné qu’il n’y a pas beaucoup d’attaquants. Êtes-vous satisfait de l'aspect offensif de l’équipe?
- Je suis content. Je suis content que l’équipe n’a pas encaissé beaucoup de buts. Je suis content que nos buts ont été marqués non seulement par les attaquants. Par exemple, Ricardinhio qui a joué en attaque et en défense. On a signé avec Damascan à la fin de la saison qui a marqué cinq buts en six matchs. Ce fait me rejouit aussi.
L’équipe a marqué beaucoup de buts sur les coups de pierd arrêtés. Est-ce que vous accordez beaucoup d'attention à cet aspect?
- Tout à fait. J’aime quand mon équipe peut marquer sur les coups de pied arrêtés. Le football moderne est inséparable de cet aspect et j'ai consacré beaucoup de temps à cet aspect. C’est grâce à nos entraînements que les défenseurs centraux comme Savic, Potirniche ont réussi à marquer sur les coups de pied arrêtés.
à suivre
Service de presse du FC Sheriff