Luka Pavlovic: J'espère qu'il y aura encore une opportunité de venir au FC Sheriff
La direction du FC Sheriff a répondu à la demande du spécialiste croate Luka Pavlovic, qui quitte le poste d’entraîneur-chef de l’Académie de football Sheriff pour raisons familiales. Les projets futurs et la méthode de travail dans une interview exclusive au service de presse du club:
Luka, l'une des périodes de votre carrière a eu lieu à Tiraspol en tant qu'entraîneur principal de l’Académie de football Sheriff. Parlez-nous de cette expérience ...
- Tout d’abord, je veux remercier le président du FC Sheriff Victor Anatolievici Gusan et le directeur Vazha Edvardovich Tarkhnishvili pour leur confiance et leur soutien. Je remercie tout le personnel, les collègues et les entraîneurs de l'Académie pour leur attitude chaleureuse et amicale à mon égard. Ce n'est pas un épisode de ma vie, mais toute une histoire. J'étais ravi de travailler ici, car pour moi, c'était un défi. J'ai travaillé en Croatie avec des footballeurs qui jouent maintenant dans les meilleurs clubs. Le défi consistait à former de mêmes professionnels. Je suis heureux d'avoir enseigné le football aux jeunes et, bien sûr, je suis heureux d'avoir trouvé beaucoup d'amis ici. Je suis heureux d'avoir appris la langue russe. Nous avons défini un programme de travail spécifique, qui, bien sûr, prend beaucoup de temps à mettre en œuvre. Les bases nécessaires ont été fondées, l'académie va dans la bonne direction.
Que pouvez-vous dire sur le niveau de football moldave?
- Si nous parlons de football moldave, nous devons d'abord parler du FC Sheriff. L’équipe de Tiraspol est particulière. Il y a toutes les conditions pour le progrès des footballeurs. Il faut continuer à progresser. Le développement général du club est un facteur important. S'il y a du progrès, il y aura des médailles et les premières places.
Vous avez participé aux processus de formation des joueurs de tous les âges de l'Académie. À votre avis, qu'est-ce qu’il faut améliorer?
- Il est nécessaire de travailler sur la mentalité non seulement des enfants mais aussi de leurs parents. Il est nécessaire de les rencontrer plus souvent et de parler d’éducation, de vie et de psychologie. L'Académie ne peut pas élever un professionnel toute seule. Les enfants sont avec leurs entraîneurs pendant 2 heures et ils sont dans la famille pendant 22 heures. Le football doit être l’essentiel dans la vie de nos joueurs. Malheureusement, il y a des parents qui ne croient pas que le football est une bonne profession. Si un enfant commence à s’impliquer dans ce sport, il faut tout donner pour en faire un professionnel.
Quels sont vos projets pour avenir?
- En cours de travail, je n’avais pas de congé. J'aime me plonger dans le travail. Mais j’ai réalisé que tout le monde a besoin de repos et d’une sorete de diversion pour gagner la force et trouver de nouvelles idées. Je pense que c'est la seule chose qui m'a manqué. En générale, j'étais heureux d'être dans la famille des jaunes et noirs. Je n'ai pas encore pensé aux projets. Du fait que j’ai appris la langue russe, j’aimerais vraiment essayer de me réaliser en Russie.
Que voulez-vous souhaiter aux entraîneurs et aux joueurs de l’Académie de football Sheriff?
- Je leur souhaite de grandes ambitions, parce que sans ambitions il n'y a pas de progrès. Tout est possible, il faut juste travailler dur. Encore une fois, merci à tous et pour tout. Où que je sois, je suivrai toujours le FC Sheriff. J'espère qu'il y aura encore une opportunité de venir ici, j'en serais très heureux.
La direction du FC Sheriff remercie Luka Pavlovic pour sa contribution au développement de l’Académie de Football Sheriff et lui souhaite beaucoup de succès dans sa carrière.
Service de presse du FC Sheriff
Luka, l'une des périodes de votre carrière a eu lieu à Tiraspol en tant qu'entraîneur principal de l’Académie de football Sheriff. Parlez-nous de cette expérience ...
- Tout d’abord, je veux remercier le président du FC Sheriff Victor Anatolievici Gusan et le directeur Vazha Edvardovich Tarkhnishvili pour leur confiance et leur soutien. Je remercie tout le personnel, les collègues et les entraîneurs de l'Académie pour leur attitude chaleureuse et amicale à mon égard. Ce n'est pas un épisode de ma vie, mais toute une histoire. J'étais ravi de travailler ici, car pour moi, c'était un défi. J'ai travaillé en Croatie avec des footballeurs qui jouent maintenant dans les meilleurs clubs. Le défi consistait à former de mêmes professionnels. Je suis heureux d'avoir enseigné le football aux jeunes et, bien sûr, je suis heureux d'avoir trouvé beaucoup d'amis ici. Je suis heureux d'avoir appris la langue russe. Nous avons défini un programme de travail spécifique, qui, bien sûr, prend beaucoup de temps à mettre en œuvre. Les bases nécessaires ont été fondées, l'académie va dans la bonne direction.
Que pouvez-vous dire sur le niveau de football moldave?
- Si nous parlons de football moldave, nous devons d'abord parler du FC Sheriff. L’équipe de Tiraspol est particulière. Il y a toutes les conditions pour le progrès des footballeurs. Il faut continuer à progresser. Le développement général du club est un facteur important. S'il y a du progrès, il y aura des médailles et les premières places.
Vous avez participé aux processus de formation des joueurs de tous les âges de l'Académie. À votre avis, qu'est-ce qu’il faut améliorer?
- Il est nécessaire de travailler sur la mentalité non seulement des enfants mais aussi de leurs parents. Il est nécessaire de les rencontrer plus souvent et de parler d’éducation, de vie et de psychologie. L'Académie ne peut pas élever un professionnel toute seule. Les enfants sont avec leurs entraîneurs pendant 2 heures et ils sont dans la famille pendant 22 heures. Le football doit être l’essentiel dans la vie de nos joueurs. Malheureusement, il y a des parents qui ne croient pas que le football est une bonne profession. Si un enfant commence à s’impliquer dans ce sport, il faut tout donner pour en faire un professionnel.
Quels sont vos projets pour avenir?
- En cours de travail, je n’avais pas de congé. J'aime me plonger dans le travail. Mais j’ai réalisé que tout le monde a besoin de repos et d’une sorete de diversion pour gagner la force et trouver de nouvelles idées. Je pense que c'est la seule chose qui m'a manqué. En générale, j'étais heureux d'être dans la famille des jaunes et noirs. Je n'ai pas encore pensé aux projets. Du fait que j’ai appris la langue russe, j’aimerais vraiment essayer de me réaliser en Russie.
Que voulez-vous souhaiter aux entraîneurs et aux joueurs de l’Académie de football Sheriff?
- Je leur souhaite de grandes ambitions, parce que sans ambitions il n'y a pas de progrès. Tout est possible, il faut juste travailler dur. Encore une fois, merci à tous et pour tout. Où que je sois, je suivrai toujours le FC Sheriff. J'espère qu'il y aura encore une opportunité de venir ici, j'en serais très heureux.
La direction du FC Sheriff remercie Luka Pavlovic pour sa contribution au développement de l’Académie de Football Sheriff et lui souhaite beaucoup de succès dans sa carrière.
Service de presse du FC Sheriff