Igor Picuschac: C’est très agréable de rencontrer mes amis et toute mon équipe
Le camp d’entraînement c’est non seulement un dur travail quotidien mais aussi un lieu de rencontre de vieux amis. L’ex-joueur du FC Sheriff Igor Picuschac est l’entraîneur d’une des équipes du FC Krasnodar qui est logée dans le même hôtel que le FC Sheriff. Pour nous, c’est une belle occasion de faire une petite interveiw:
Igor, je suis enchanté de te voir. Comment ça se passe à Krasnodar?
- Ça va bien. Merci. Jusqu'à cet hiver, j’ai travaillé avec une équipe qui jouait dans le tournoi FNL. Mais la direction a décidé de changer les entraîneurs. Maintenant, je travaille avec des attaquants dans l’Académie du FC Krasnodar. L'Académie du FC Krasnodar est d'un niveau élevé avec des bonnes installations.
Si on compare l’Académie du FC Krasnodar avec celle du FC Sheriff?
- La plus grande différence c’est le nombre des étudiants. L’académie du FC Krasnodar compte de nombreuses branches dans avec environ 16 000 d’enfants.
Avais-tu une idée que tu serais logé dans le même hôtel que le FC Sheriff?
- Pas du tout. Mais je suis très heureux de voir tout le monde. C’est très agréable de rencontrer des amis et toute mon équipe. Je suis toujours au courant de tout qui se passe dans le club, je regarde les comptes rendus des matches.
Peux-tu imaginer de jouer un jour, en tant que l’entraîneur, contre le club qui t’a formé comme footballeur?
- Je n’avais pas pensée à une telle occasion. Je pense que ce serait intéressant. Pour moi ce serait une sorte de motivation.
Les deux clubs sont partis de rien: ont construit des construits, ont fondé des académies. Est-ce que les deux clubs se sessemblent en ses ambitions?
- Pas la peine de comparer les deux clubs. Je ne connais que des réalités actuelles. Je ne connais pas le FC Krasnodar depuis sa fondation. Quand j’étais le footballeur du FC Sheriff, il y avait une époque et les possibilités technologiques étaient différentes. Maintenant, il y a plus d'innovations. À Krasnodar, tout est informatisé. À cet égard, Krasnodar progresse vite. Il y a des opportunités et un grand nombre de joueurs.
À Tiraspol, il y a des fans qui s'intéressent à ta vie actuelle. Veux-tu les transmettres quelques paroles?
- Je suis reconnaisant aux fans du club pour ce qu’ils se souviennent de moi. Quand je rentre à Tiraspol, je rencontre beaucoup de gens et je suis très heureux qu'ils n'oublient pas des moments quand j'ai joué pour le club.
Service de presse du FC Sheriff
Igor, je suis enchanté de te voir. Comment ça se passe à Krasnodar?
- Ça va bien. Merci. Jusqu'à cet hiver, j’ai travaillé avec une équipe qui jouait dans le tournoi FNL. Mais la direction a décidé de changer les entraîneurs. Maintenant, je travaille avec des attaquants dans l’Académie du FC Krasnodar. L'Académie du FC Krasnodar est d'un niveau élevé avec des bonnes installations.
Si on compare l’Académie du FC Krasnodar avec celle du FC Sheriff?
- La plus grande différence c’est le nombre des étudiants. L’académie du FC Krasnodar compte de nombreuses branches dans avec environ 16 000 d’enfants.
Avais-tu une idée que tu serais logé dans le même hôtel que le FC Sheriff?
- Pas du tout. Mais je suis très heureux de voir tout le monde. C’est très agréable de rencontrer des amis et toute mon équipe. Je suis toujours au courant de tout qui se passe dans le club, je regarde les comptes rendus des matches.
Peux-tu imaginer de jouer un jour, en tant que l’entraîneur, contre le club qui t’a formé comme footballeur?
- Je n’avais pas pensée à une telle occasion. Je pense que ce serait intéressant. Pour moi ce serait une sorte de motivation.
Les deux clubs sont partis de rien: ont construit des construits, ont fondé des académies. Est-ce que les deux clubs se sessemblent en ses ambitions?
- Pas la peine de comparer les deux clubs. Je ne connais que des réalités actuelles. Je ne connais pas le FC Krasnodar depuis sa fondation. Quand j’étais le footballeur du FC Sheriff, il y avait une époque et les possibilités technologiques étaient différentes. Maintenant, il y a plus d'innovations. À Krasnodar, tout est informatisé. À cet égard, Krasnodar progresse vite. Il y a des opportunités et un grand nombre de joueurs.
À Tiraspol, il y a des fans qui s'intéressent à ta vie actuelle. Veux-tu les transmettres quelques paroles?
- Je suis reconnaisant aux fans du club pour ce qu’ils se souviennent de moi. Quand je rentre à Tiraspol, je rencontre beaucoup de gens et je suis très heureux qu'ils n'oublient pas des moments quand j'ai joué pour le club.
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